Fin des années 1970. Le président de la République Valéry Giscard d’Estaing s’invite à dîner chez des Français moyens, joue de l’accordéon avec Yvette Horner et du piano électrique avec Claude François. Mais ça ne suffit pas pour faire peuple. Peut-être était-il lui aussi tatoué, à l’image de certains rois et autres dirigeants du monde. On a aussi du mal à l’imaginer sous les aiguilles d’un des rares en France qui ont fait de cette pratique marginale leur métier. Tatouage Magazine est parti à la recherche de ces pionniers, sans qui rien n’aurait pu se faire. On part au Plessis-Trévise discuter avec Alain.
Texte : Philippe Dynamo – Photos : Christian Chéron – DR